En effet, le pain est constitué principalement de farine et d’eau, mais l’énergie contribue également à la qualité du pain.
Connaissez-vous l’impact environnemental d’une baguette ?
- 4m2 de terre ;
- 140 grammes de CO2 en moyenne (l’équivalent d’une ampoule de 60W allumée pendant 27h) ;
- 1 baignoire d’eau entière, soit 150 litres.
Pour le pain, l’eau joue un rôle primordial.
Il fait partie de la recette. Sa qualité, mais aussi sa température, sont des facteurs déterminants.
- Une eau potable purifiée et adoucie est indispensable.
- La température de l’eau est l’unique variable d’ajustement, afin que la pâte atteigne la température de base nécessaire à une bonne conduite du procédé de fermentation.
Et qui dit température contrôlée, dit chauffage maîtrisé.
Et le chauffage peut se faire de différentes manières, plus ou moins durables. L’énergie est aussi indispensable à la cuisson et au process de fermentation, à l’éclairage, à la climatisation, à la réfrigération et à la ventilation… Alors quelle énergie faut-il utiliser ? Une énergie renouvelable et de récupération, de préférence.
Est-ce possible ?
Évidemment ! En fonction des usages et des besoins nécessaires à chaque étape de la fabrication du pain, il y a la possibilité d’utiliser plusieurs types d’énergie.
Que choisir ?
Comment combiner ces énergies pour en tirer le meilleur profit ?
Il n’y a pas de solution miracle. Mais il existe des solutions plus durables. Après un diagnostic, on peut :
- identifier les déperditions énergétiques ;
- analyser l’adéquation entre les besoins et les sources d’énergies utilisées ;
- définir un profil de consommation pour optimiser sa facture énergétique ;
- s’assurer de l’entretien des équipements et des gaines de ventilation ;
- opter pour une énergie verte.
Mieux encore, utiliser l’énergie fatale permet des économies financières considérables et réduit les émissions de gaz à effet de serre. Et pour finir, n’oublions pas l’eau de nettoyage, qui peut aussi alourdir la facture, à cause de fuites ou de négligences. Des solutions pour maîtriser les flux existent (économiseurs d’eau, récupérateur d’eau de pluie…).
S’inscrire dans une démarche plus durable, en choisissant une énergie “intelligente”
C’est Mission Possible
